Vous...

              

          Annuaire de Blog

Vous êtes  1  à rêver avec moi...

       FreeCompteur.com

La femme...

Il y'a autant de lettre

dans femme,que dans amour...

(Forneret)

L'érotisme c'est quand

l'imagination fait l'amour

avec le corps...

Jeudi 26 avril 4 26 /04 /Avr 17:33

Nous allions main dans la main, penchés l’un vers l’autre, échangeant de menues confidences. Le jour n’en finissait pas de s’éteindre mais ce n’étaient pas les derniers rayons du couchant qui lui rosissaient le visage…

Je lui racontais des histoires. De ces aventures imaginaires et coquines qu’Agnès aime tant parce qu’elle y tient toujours le premier rôle. J’aime mettre en scène ses désirs les plus cachés, ceux qu’elle ne consent à avouer que sous la torture de mes caresses, lorsqu'à bout de plaisir elle dévoile enfin l’univers troublant de ses fantasmes : contraintes, soumission, exhibition... Agnès ne manque pas d’imagination ! Je sais que tout ce qu’elle me confie alors, elle le désire réellement, bien qu'elle mette encore un peu de distance entre ses fantasmes et leur réalisation : j’attends avec curiosité que cèdent bientôt les derniers vestiges d’une pudeur chancelante qui n’en est que plus piquante.

Douce et tiède soirée. Quelques couples flânaient dans le parc. A leur approche, elle se serrait un peu plus contre moi. Et moi, l’enlaçant, je lui caressais les seins qui pointaient avec insolence sous son T-shirt et les lui pinçais délicatement, juste pour l’entendre gémir au moment où les promeneurs passaient à notre hauteur.

"Je vais vous libérer de votre culotte " dis-je soudain. Sa surprise ne dura qu’un instant et docile, Agnès se laissa vite entraîner sous un arbre, près d’un banc. Accroupi devant elle, j’avais sans prévenir passé mes mains sous sa jupe et j’explorais ses dessous : j’effleurais ses cuisses, j’identifiais la fine dentelle. Je m’attardais… Adossée contre l’arbre, elle avait fermé les yeux pour mieux goûter la tiédeur de la nuit et la douceur de mes doigts qui s’insinuaient sous son slip. Délicatement je dégageais l’étoffe, je musardais entre ses fesses, je glissais vers la moiteur de son sexe tandis que de l’autre main je descendais doucement sa culotte…

Je l’ai invitée à s’asseoir sur le banc de pierre, lui ai fait prendre la pose, jupe relevée sur ses cuisses écartées, offerte ainsi à tous les regards et j'ai reculé de quelques pas, autant pour faire naître son inquiétude de se trouver seule dans cette situation que pour savourer le spectacle. Dans la lumière d’un réverbère proche sa silhouette claire tranchait sur la pénombre des buissons. Nonchalante, elle avait posé une main sur son ventre et d’un doigt distraitement tendu semblait me montrer où poser mon regard, au cas où je n'aurais pas remarqué sa petite touffe noire, ses lèvres luisantes de désir, le sourire énigmatique de son sexe...

"Ne bougez pas." Je suis revenu auprès d’elle. "Ne bougez surtout pas." Un couple passait sur l’allée toute proche : le garçon poursuivit son chemin tout absorbé par le discours qu’il tenait à sa compagne, une métisse lascive à la démarche de danseuse. Nous ayant aperçus, elle avait ralenti sa promenade puis s’était arrêtée. Les bras repliés sur son corsage où l'on devinait une poitrine généreuse et nue, elle plongeait maintenant un regard gourmand sous la jupe d’Agnès qui imperceptiblement, s'appliquait à lui ouvrir davantage les profondeurs de son intimité. Le mystérieux face à face se prolongeait... "Ben alors, qu'est-ce que tu fiches ?" Au loin, l’ami s’impatientait. La fille fit volte-face et tandis qu’elle s’éloignait, esquissant un pas de danse, des deux mains elle a relevé sa robe par derrière : un instant, il n’y eut plus dans la nuit bleue que ses fesses ambrées, comme un beau fruit charnu.

Agnès eut un petit soupir félin... Elle n’avait pas bougé. Ou si peu : ses doigts voletaient mollement entre ses cuisses et perdue dans d'insondables rêveries, elle se caressait...

C’est alors que j’ai repéré un mouvement dans un buisson. Une ombre furtive s’immobilisa. « Vous avez un admirateur, Agnès ! » Je lui avais chuchoté à l’oreille pour ne pas l’effrayer. Je la croyais prête à s’enfuir et pour la persuader de poursuivre, tenté par son coquillage nacré, je joignis ma main à la sienne. « Ne le décevez pas, continuez. » J’observais notre voyeur, un charmant et tout jeune athlète qui s’enhardissait et ne se trouvait plus qu’à deux ou trois mètres. J’ai invité Agnès à se lever, puis à lui tourner le dos. Elle a trouvé spontanément la meilleure position : jambes écartées, un pied sur le banc et se penchant un peu, elle continuait à se caresser. Sous sa jupe troussée, ses fesses dorées, frappées du mince triangle blanc du bronzage estival, brillaient dans la pénombre et sa chatte lisse que ses doigts exploraient adroitement s’ouvrait comme une fleur délicate, trempée de rosée.

L’autre avait ouvert son jean et commençait à se toucher. Curieusement, je ne supportais pas l’idée qu’il se satisfasse ainsi. J’attendais plutôt qu’il se soumette à nos caprices. « Vous devriez délivrer notre ami » dis-je à Agnès. Elle m'a regardé un instant, incrédule. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait et connaissant ses fantasmes je me doutais que cela devait la tenter. Elle voulait sans doute être sûre, sûre de moi… Je lui ai pris la main et je l’ai posée sur la braguette du jeune homme. « Ce garçon ne demande pas mieux que de combler vos désirs et votre curiosité… » Perplexe, notre victime amorçait un début de retraite. Alors, sans plus d’hésitation, elle a plongé sa main dans l’ouverture du pantalon ! Sous la toile qui se distendait et s’agitait mollement, je la devinais en train d’explorer et j’imaginais ses doigts égarés dans un paysage étranger découvrir un gros membre tendu puis l’enserrer, le palper…

Je croyais qu’Agnès allait se contenter de cette reconnaissance lorsque d’un seul et brusque mouvement elle fit jaillir un sexe de si belle taille qu’elle en eut un petit hoquet de surprise. Bandé comme un arc et fièrement cambré, il était coiffé d’un large gland qui paraissait prêt à exploser tant il était gonflé. J’avoue avoir été tenté de le saisir pour en apprécier la fermeté ! « Elle est beaucoup plus grosse que la mienne ! » Habituellement, ce genre de considération faisait sourire Agnès qui me jurait que je n’avais pas à me plaindre. Ce soir là, elle ne m’a pas contredit. Peut-être parce qu’elle ne m’entendait plus… Elle me lançait des regards éperdus, comme pour s’assurer de notre complicité mais je voyais ses yeux gourmands revenir sans cesse sur l’imposant engin qui palpitait, dressé à quelques centimètres de son visage. Prise d’un interminable frisson, elle avait enfoui ses deux mains entre ses cuisses puis, les seins tendus, les fesses effrontément cambrées, elle s’est soudain redressée, secouée de spasmes qui n’en finissaient plus. Agnès jouissait… Elle jouissait en silence, n’émettant qu’un chuchotis léger, une mélopée qui accompagnait le tremblement cadencé de son corps.

Elle vacillait encore lorsqu’en me souriant elle a saisi le sexe du jeune étalon. La respiration courte, elle s’est mise à le branler doucement, maintenant sans peine une impressionnante érection. Fasciné, j’observais ses mains qui allaient et venaient inlassablement le long de l’énorme queue, tandis que pour marquer mon approbation et peut-être pour lui rappeler ma présence, je lui caressais la chatte avec ardeur. Elle était inondée et je sentais sous mes doigts ses lèvres gonflées de plaisir et son petit bouton raffermi par le renouveau de son excitation. « Pas sans vous » dit-elle, et déjà fourrageant dans mon pantalon elle libérait enfin mon sexe. Elle s'est assise sur le banc, et nous, debout face à elle, nous semblions prêts à lui rendre les honneurs, sabre au clair ! Elle nous a empoigné, chacun dans une main et tirant ou poussant fermement sur ce qu’elle avait attrapé, elle nous manœuvrait à sa guise pour nous placer l’un à côté de l’autre. J’ai senti son étreinte se relâcher un peu. Elle a glissé très lentement jusqu’à la racine de ma verge pour empaumer mes couilles et les masser avec d’infinies précautions. Puis serrant de nouveau, elle est remontée vivement, m’étirant la verge avec une ardeur sauvage que j’attribuais à son désir de me posséder.

Mon voisin abasourdi connaissait le même traitement. Elle nous masturbait en cadence, s'ingéniant à varier le rythme pour maîtriser notre jouissance, adaptant ses caresses à ce qu'elle jugeait de notre état. Sans doute voulait-elle nous faire jouir en même temps… Elle nous avait disposés de telle sorte qu’elle nous gardait ensemble dans son champ de vision et je devinais à son souffle rapide, à ses yeux qui allaient sans cesse de l'une à l'autre, le plaisir qu'elle éprouvait de célébrer deux queues à la fois. Emerveillée, attentive, elle les branlait savamment, puissamment, sur toute leur longueur, caressant régulièrement leur bout dilaté à pleine main. Je l'ai vu approcher un instant ses lèvres du mandrin distendu de l’inconnu. Me regardant du coin de l’œil elle attendait une réaction. Oserait-elle ? Elle a ouvert sa bouche gourmande, l’a descendue lentement sur cette bitte impatiente, puis l’a engloutie d’un coup pour ne la sucer qu’une seule fois, au désespoir de son propriétaire. Elle préférait, du moins je voulais le croire, me réserver ce genre de privauté mais je savais aussi qu’elle s’amusait de la torture qu’elle infligeait ainsi à l’imprudent voyeur qui s’était aventuré trop près de nous.

Tout est allé très vite. En quelques manipulations efficaces elle a obtenu ce qu’elle désirait et tandis que nous suffoquions de plaisir, elle accompagnait notre double éjaculation d’un nouvel orgasme qui aurait pu lui faire manquer le spectacle qu’elle attendait. Mais elle avait conservé assez de lucidité pour ne pas s’en priver et pour renforcer encore notre complicité amoureuse : riant comme une enfant, elle évitait soigneusement les projections de l’étalon alors que mon bonheur jaillissait en saccades répétées sur son visage.

Nous l’avons laissé ahuri, planté dans l’ombre du parc, se demandant sûrement s’il n’avait pas rêvé… Et nous, nous allions main dans la main, penchés l’un vers l’autre, échangeant de menues confidences. Nous n’avons pas beaucoup dormi cette nuit là, et pourtant je ne lui ai pas raconté de ces histoires qu’elle aime tant...

Cette histoire est écrite par l'Eronaute

Par Isarêve - Publié dans : Rêves et désirs
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus